coupe africaine des nations posée sur un supportSPORTS 

Côte d’Ivoire: Il faut éviter les inquiétudes sur la fête sportive.

Il faut nous occuper de la CAN, sinon à vouloir trop chercher à tirer sur la corde, elle finit par se casser, alors que le président Ouattara veut marquer le coup. La période des traques qui s’est enclenchée, nous avons très peur qu’elles n’en tâchent la notoriété de cette belle fête sportive en perspective. Dans la vie d’une nation, il y a des choses qui peuvent attendre quand des enjeux majeurs s’invitent dans le quotidien.

Dans toutes les villes du pays où les matchs vont se dérouler, il y a un tel engouement que, effrayer les populations, serait réduire l’enthousiasme populaire. Alors que représente Soro Guillaume par rapport à ces milliards injectés dans l’organisation de ce rassemblement sportif africain? Ça peut attendre ou continuer les négociations si, elles ont été engagées.

Aujourd’hui avec les réseaux sociaux, les choses vont très vite et ceux qui doivent venir connaître le pays et les grands invités qui arrivent, nous souhaiterions que ces traques s’amenuisent et de les relancer plus tard.

Quand tout autour du stade d’Embipé, les routes sont en train de donner fière allure à ce lieu, il y a des choses, on s’en fout et on avance.

On a aussi remarqué qu’à chaque fin d’année, les ivoiriens sont traumatisés par des on dit, il paraît que les rumeurs enflent dans le cœur.

Il faut éviter ces genres de traumatisme et donner cette assurance qu’être ivoirien, est une noble chance et la vie doit-être agréable à vivre. A chaque fin d’année, il y a cette espèce de rumeur qui s’empare des ivoiriens et leur quotidien se sent éberluée. 

Il faut mettre un terme à ces traques et s’occuper de l’organisation de la CAN que le président Ouattara veut exceptionnelle, vouloir à tout rendre le coup pour coup, devient un caillou dans les chaussures, comment on pourra marcher avec un caillou dans les chaussures?

Passons à autre chose plus importante que ces victoires politiques qui n’en valent pas la peine.

La CAN est une affaire africaine et il ne faut pas donner du grain à moudre aux spéculateurs religieux qui prédisent son échec et son transfèrement dans un autre pays arabe. Ce qu’on peut éviter, il faut le faire et se dépasser car l’orgueil et la fierté, dans ce cas de figure, sont de mauvaises maîtresses, des mauvaises conseillères.

Que la fête sportive africaine soit belle et vive la Côte d’Ivoire.

                          Joël  ETTIEN 

        Directeur de publication : businessactuality.com

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